Ces expériences marquent sa polyvalence et orientent sa carrière professionnelle vers l’événementiel où il fait ses premiers pas pour une célèbre boîte de nuit parisienne, puis vers le secteur du e-commerce en tant que graphiste.

Voulant s’exprimer plus artistiquement, il se tourne vers la peinture numérique. En référence à sa jeunesse, l’artiste réalise alors une série de portraits de la pop culture américaine, en tirage digigraphique, soutenu par la société Epson, qui le prend sous son aile et l’expose dans divers lieux parisiens.

Son engouement pour l’art ne cesse de croître avec ses expositions et Mathieu décide d’abandonner la technique numérique et de revenir à la peinture traditionnelle qui révèle une nature plus authentique de son travail.

Fasciné par la culture nord-américaine, il retranscrit à travers son œuvre la jeunesse californienne et livre des portraits intimistes influencé de son âge d’or.

Né à Rouen (France) en décembre 1981, Mathieu Questel a un parcours artistique atypique.

Il fait ses débuts à l’Ecole des Beaux-Arts du Havre, mais décide rapidement de s’orienter vers des études de commerce et de webdesign avec la conviction qu’il garantira davantage son destin professionnel.

Cependant, le monde de l’art le rattrape ; car Mathieu a toujours baigné dans cet univers grâce à son grand-père Jean Marc, artiste/peintre qui lui a appris les bases du dessin et de la peinture académique.

Son adolescence a été marquée par la déferlante de « l’américanisation » du Monde dans les années 80/90 (films, skateboard, American Sports, etc.), qui a fortement influencé son mode de vie et son environnement artistique.

L’envie et l’esprit créatif de Mathieu grandissent à mesure qu’il grandit. Il débute dans le street art : après s’être initié au graffiti, il consacre des après-midi entières à embellir les murs d’usines désaffectées, découvrant ainsi d’autres artistes qui partagent la même passion pour l’art urbain.

© Mathieu Questel | Tous droits réservés.